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Poèmes et Poésies de Salvatore Comisi
Poèmes et Poésies de Salvatore Comisi
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L’APPARITION ( fable)

L’APPARITION ( fable)

L’APPARITION ( fable)

 

Je ne sais pas, par quel enchantement
je me suis trouvé dans un lieu si étrange
cela était que je rêvais bien, oui sûrement
du temps que, petite j’habitais Morhange.
Cette ville est en Moselle souvent morne
elle fut tombeau pour mon papa jeune.

Je me trouvais la, dans une forêt profonde
bien après que la nuit eu envahi le jours
Il n’y avais personne, cent lieux à la ronde
il y eu un bruit venant, des morts le séjours.
Les étoiles m’apparurent bien pâles eux
qui étaient bien loin, la haut dans les cieux.

Tout à coup ce fut le silence, lourd, pesant
dans la forêt aucune voix. La, tout se taisait
les buissons ils eurent grand peur frémissant
et moi aussi, je tremblait, le silence me pesait.
Les arbres ne bougent plus, eux qui toujours,
de majesté et puissance parlent s’il fais jours.

Je ne sais pas par quel miracle j’ai pu à la fin
ouvrir la bouche, pour crier ma grande peur,
mais rien ne sortait de ma gorge, puis enfin
quelques chose est sortie, j’appelais en douleur,
fin d’abord, et puis plus fort jusqu’à m’entendre,
me surprendre comme si d’une corde pendre.

Finalement un cri, j’appelais : Aux secours !
Oiseaux, animaux mes ami je vous en prie
ne me laissait pas seule, à vous j’ai recours
confiante quand je vous voit dans la prairie.
Hélas, personne fut pour me répondre, ours
chien, ou lapin, même pas un renard minus.

En vains je criais aux arbres : Aidez-moi !!!
Je vous prie, cachez-moi dans vos bras forts.
Mais eux restèrent immobiles, sans émoi,
ils ne firent rien, ils étaient la comme morts.
Je me suis jette par terre, je pouvais entendre
les racines des arbres respirer et se répandre.

J’éclatait tout en pleures, en sanglots terribles
Je criais avec force : Au secours ! A l’aide !
J’était vraiment en grande peine, bien sensible,
tous ce qui m’entourait ne m’était pas remède.
Puis il y eu du vent, cela a commencé en douce
et tout semble revenir à la vie, même la puce.

J’étais au pieds d’un grand chêne, tremblante
j’écoutais le silence, très subtil, comme l’aire
qui invisible est, pourtant réelle, suis-je pante ?
Tout-a coup au loin une lumière, et par ce faire,
subjuguée j’étais, par cette chose bien nouvelle
qui en s’approchant devient une figure très belle.

Dans la nuit bien noire cette personne se fit voire
de plus en plus en s’approchant il prenais forme
étais figure étrange, un homme entouré de noire
certes un être surhumain je crois, car hors norme.
Les arbres à son passage s’inclinait pour le saluer
les animaux tous s’approchent pour bien le louer.

Il avait l’allure si imposante, fière et tellement sure
que la forêt et tous ses hôtes lui rendirent hommage,
tout le monde voulais voire et écouter parole mûre.
Paroles d’un être surhumain sure et sans ombrage
de tout ce qu’Il dit je me rappelle très peu de chose
reste quelques frases qui me rendent très heureuse.

Il a dit : « Honore, ton père et ta mère, afin que tes
Jours se prolongent », Il avait déjà dit cela à Moise
C’est un des Dix Commandements c’est dans mes
intentions, car cela est aussi ce que j’ai fait en mise
dans le passé et que je ferais dans l’avenir, aidée
par Lui qui m’enverra mon ange gardien qualifié.

Cet homme aux cheveux blancs ondulants au vent
vêtu de lumière, était très beaux comme personne,
comme aucun homme ne le fut sur terre. Souvent
on parle de la beauté des anges, cela elle est bonne
l’épouvante me pris, j’ai vue deux yeux perçantes
francs s’approcher la dans l’obscurité troublante.

Son regard doux et saisissant produit un forte émoi
un formidable bouleversement qui me fit croyante
c’était bien un plus qu’un ange qui venait vers moi
alors Il laissa tomber sur mon corps par terre béante
une rouge fleur, avant de disparaître comme venu
cette fleur je l’ai cueillit du cœur de Dieu, Jésus venu.

Mes yeux brillèrent un peu plus, un petit vent venu.
alors la lune me fit un beau sourire, les étoiles aussi,
le vent jouait avec mes cheveux, et la fleur roussi
palpitait dans mes mains, douce comme cœur, j’ai vu
le Christ qui sur la croix a versé son sang pour moi,
Il est mon cher Sauveur, Il peut l’être aussi pour toi

Salvatore Comisi