Monique je l’ai connue un jour,
quand, malade elle aussi était
comme moi et faisait un séjour
à Solisana. Amour elle en avait.
Oui, amour à donner pour tous
de la gentillesse elle avait soif,
avec tous voulait communiquer plus,
son douce visage était bien naïf.
Naïf, naturel et très intelligente,
en elle y avais pas de malice
Sincère, douce, presque obéissante
elle n’avais pas besoin de police
Docile elle accepta les médicaments
faisais ces promenades en forêt.
Nous communiquait à tout moments
de la douceur comme du miel en fête
Un jour j’ai eu d’elle une grosse bise
ce fut un régal inoubliable à jamais,
Je sent encor cette chaleur en remise
et si à elle je pense, c’est: « cheese »
Puis après un mois, en voie de guérison
Monique nous a quitté, est partie chez elle
ce fut bien tel qu’une sortie de prison,
joyeuse, elle était vraiment toute belle
Salvatore Comisi