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Poèmes et Poésies de Salvatore Comisi
Poèmes et Poésies de Salvatore Comisi
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L’œillet amoureux de la rose

L’œillet amoureux de la rose

L’œillet amoureux de la rose

 

Fatigué et aussi découragé, par cause
d’un vide d’amour, j’étais en émoi,
tout chamboulait, et toute chose
était devenue secondaire, en soi.
Sans amour, sans avoir ma dose
la vie n’a pas de sens pour moi.

L’amour est le plus important
de tous les besoins humains,
sans cela c’est la solitude.
Tant qu’il y aura des femmes saines,
des hommes qui le sont autant,
la vie sera plaine de fontaines.  

Près d’un arbre je me suis assis
pour y réfléchir et me résonner
essayent de calmer ma peine bis
qui est la solitude, le venin amer.
Je flottais dans l’aire comme ibis
j’étais dan le silence pour penser.

J’étais tellement et si bien absorbé
que je ne me suis pas vu endormir
Ce fut alors qu’en vision Morphée
me portât en vol dans un jardin de sir
que je ne connaissait pas. J’étais tout bée
devant cette merveille à faire abasourdir.

On l’aurait dit le beau jardin d’Eden
dé que je me suis installe dans le rêve
j’ai entendu un fort murmure zen,
et aussi des pleurs, comme de brefs
cris de désespoir que j’entent bien.
C’était un œillet, et non pas l’Ève

Je me suis approché pour le voir,
je l’ais questionne pour connaître
la raison de sa douleur et déboire,
c’est avec pêne qui me fit paraître
sa triste et la malheureuse histoire
avec la fleur qu’il a vu apparaître

A l’aube, il avait vu sur la plante
prés de lui s’ouvrir un bourgeon
doucement s’épanouir touchante
baptise par la rosée, vrais fleuron
est une douce créature reluisante,
une rose, à pétales de nourrisson.

L’œillet en fut tout ébloui, le fort
parfum de la voisine lui fit perdre
toute sa raison, il se dressa à tort
sur ses racines, pour lui prendre
la veine, car il l’aimais à la mort,
était une passion à vous surprendre.

Mais la belle n’accepta pas l’amour
et pour qu’il puisse se le tenir pour dit
le blessa, en le transperçant à toujours,
d’une grosse épine au cœur, qui le fendit,
et sans presque parler, en un petit détour,
un grand cri, elle lui dit un seul mot: Maudit!

Alors, j’ai voulu comprendre le pourquoi
cette belle a pu ainsi se fâcher. Oh! Rose,
bien comme par une abeille piquée, toi
tu l’as blesse, pauvre œillet. Repose !
Ne vois-tu pas ? Son seul tort, quoi ?
C’est de t’aimer, un cœur sincère, ose

De toutes armes tu as voulu te servire,
c’est bien en cela qui tout se brouille
Ton parfum en aimant, à toi l’attire
puis une épine tu as planté, ouille!
Maintenant tu le tien, tu es satire,
prisonnier, martyr en verrouille.

Vois-tu, il a été victime de criante
beauté. Un œillet, c’est une fleur
qui n’est pas à dédaigner, béante,
d’arbuste forte et résistant, peur
n’a pas. Il a une allure luxuriante
croie-le tu peux accepter ce cœur.

Laisse-le pour toujours amoureux
heureux prés de toi en époux sur,
donne-toi à lui d’un cœur joyeux
ça c’est la vie, c’est l’amour pur.
Soit sérieuse, être avec lui tu peux
aie confiance cela n’est pas si dur.

Oh! L’entremetteur, stop veut-tu?
Ne me parle plus de cette herbacé.
Je n’ai rien à faire de cet amour têtu,
même si de ma douce virginale carapace
je dois en faire le deuil, œillet il sera élu
le clown, le pantin de ce jardin en l’espace.

Savoir il doit bien sur, qu’une belle fleure
tel que moi je le suis, est digne seulement
d’une grande vie de court, donc malheur
à celui qui se comporte en garnement
et qui ose en haut regarder. Horreur
et douleur pour de tels agissements.

Avant de se permettre cette folle
illusion dorée, d’épouser la reine,
sache qu’il est vile herbette molle
personne ne peut me barder peine
mon mépris, je ne puis être trolle,
avec un roi, je saurais être reine.

No, no! Cela ne peut pas se faire,
cent fois mieux la mort puissante
la je peux marcher d’un pas fier,
car si l’unique possibilité restante
c’est lui, Hadès sera ma lumière,
à son épouse je le préfère béante.

Hélas, Comme à une prière exaucée,
seulement quelques jours elle a eu,
et malgré rosée elle n’a pas résistée,
a chaleur du soleil rose n’a plus vécu,
terrible chose est la coupable pesée
qu’elle eut, et tout le monde fut déçu

Ce fut la mort d’une jolie sœur aimée,
l’œillet assistait en peine impuissante.
Par tous du jardin elle fut très pleurée,
elle eut une dure agonie, très pantelante.
Pour la rose, l’amie, même la douce rosée
pleura beaucoup, en devenant pluie ruisselante.

Pour toute la vie l’œillet se rappellera l’épine
qui l’avait touché la, bien si prés du cœur,
maintenant une petite cicatrice très fine
qui est visible, en souvenir du malheur.
Une belle femme l’a cueilli, bien câline
pour son Patrice se fut grand bonheur

C’était l’ami un homme en sentinelle
le compagnon qu’elle bien chérissait
plain d’amour, qui ce soir, son étoile
port à danser, alors qu’il la caressait
elle mis la flore en boutonnière belle
œillet en fut heureux car il survivait.

La morale de cette histoire accable :
Certes, on est bien très peu de chose,
et cela, n’est pas seulement une fable
mais la brève vie d’une fleur, la rose.
A soixante-dix ans je me mets à table
me remets en question, et pour cause

Car l’amour ne doit jamais arrêter,
pour être heureux/se, Ose, Ose, Ose.
Oui tout le monde à besoin d’aimer
aussi d’être aime, ce qui est la chose
plus importante comme l’est la mer,
amour comme première pierre pose.

Si notre chère vie, n’est pas amoureuse
que ce soit du prochain, que de la vérité,
la dure réalité de notre fragilité nous cause
bien peurs, pour ce bref passage, dans la cité.
Il faut que nous la pratiquions cette belle chose
qui est: La sainte charité biblique, la grande vérité.

Salvatore Comisi